Protection de l’enfance

La politique de l’enfance est un sujet interministériel, à la croisée des politiques d’éducation, de santé, de justice, de solidarités ou du numérique, qui impliquent aussi les acteurs des territoires – en premier lieu les départements – et les associations, pour :

  • renforcer le soutien aux enfants les plus vulnérables, en particulier ceux qui sont placés, en danger, victimes de violence ou de maltraitance ;
  • intensifier la lutte contre toutes les formes de violences subies par les mineurs, y compris numériques.

Toutes les informations sur le groupement d’intérêt public France enfance protégée 

  • La prise en charge des mineurs et jeunes majeurs protégés par l’aide sociale à l’enfance (ASE) ;
  • La garantie de l’égalité et de la qualité de la protection de l’enfance sur tout le territoire ;
  • L’insertion sociale et professionnelle des jeunes majeurs protégés ;
  • La lutte contre toutes les formes de violences faites aux enfants ;
  • La participation et le suivi des stratégies et textes pour l’enfance portées par l’Union européenne et les organisations internationales.

  • Contribuer à la construction du service public de la petite enfance, en lien avec les communes, pour permettre à toutes les familles de disposer d’une solution d’accueil pour leurs jeunes enfants ;
  • Renforcer la lutte contre les maltraitances et les violences faites aux enfants, avec le renforcement de l’action policière et judiciaire pour détecter, réprimer et prévenir les violences faites aux mineurs ;
  • Mieux prendre en charge les enfants et jeunes vulnérables et protégés pour garantir l’égalité des chances des enfants. Si l’aide sociale à l’enfance est une compétence exclusive des départements, la protection des enfants est un enjeu partagé avec l’État. Les services de l’État se mobiliseront aux côtés des départements pour mieux prévenir les situations de danger et améliorer la réponse aux besoins des enfants protégés, notamment en matière de scolarité, de santé, de prise en charge du handicap ou encore d’insertion professionnelle et sociale des jeunes sortant de l’ASE ;
  • Agir pour la santé des enfants, qui ont été particulièrement exposés aux conséquences indirectes de la crise sanitaire. La santé mentale des plus jeunes doit être au cœur de l’action du Gouvernement et les assises de la santé des enfants et de la pédiatrie, prévues au printemps, seront l’occasion d’avancer ;
  • Garantir les droits des enfants dans l’environnement numérique, trop souvent victimes de violences en ligne.

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